Roumanov, archiprêtre de l’Église orthodoxe de la ville de Rēzekne, témoigne sur les crimes de l’occupant.

Le procès de Riga (1946) est un des exemples les plus marquants de cette volonté d’élision du caractère antisémite des massacres. Les films sur les procès de criminels de guerre en URSS montrent tous des popes accusant l’occupant d’avoir détruit des églises. L'ojectif final étant de démontrer la destruction de la culture des peuples de l’URSS par l’occupant.
La présence marquée des religieux vise à la fois à mettre en avant les nouvelles relations établies entre l’État et les Églises durant la guerre et à donner du poids à l‘accusation.